Salon de l’ automobile à Béziers 2025

Le compte rendu par notre ami Gérard

Pour une première, ce n’est pas un franc succès, mais cela n’a pas d’importance car nous avons pris contact avec l’organisation du Salon de l’automobile de Béziers et l’année prochaine, notre participation sera sûrement plus efficace.

En fait, il faut remarquer que nous n’avons pas été parfaitement bien positionnés car nous étions dans la salle de restaurant et il n’y avait pas beaucoup de passage. Les voitures du dehors ont été particulièrement appréciées, avec un petit bémol : c’est que les voitures n’étaient pas fermées à clé et donc certaines personnes ouvraient les véhicules.

Nous avons pu, à quelques-uns, nous relayer tout au long du week-end avec une efficacité certaine ; par contre, il n’y a pas eu d’inscription évidente, même si certaines personnes ont pris contact.

Peut-être faudrait-il revoir notre stratégie, c’est-à-dire préparer bien en amont, quelques mois avant le salon. Par exemple, on pourrait, pour les voitures anciennes dont les constructeurs sont présents sur le salon, mettre une voiture au milieu des voitures modernes, même si nous avons l’impression que la place était réduite, ce qui donnerait une visibilité importante à notre club. D’autre part, pour les constructeurs qui ne sont pas présents au salon, si nous avons des voitures anciennes de ces constructeurs, on pourrait les laisser dehors, comme les six voitures du club qui étaient présentes. Tout ceci permettrait une meilleure visibilité des voitures anciennes, réparties parmi les voitures modernes.

En fait, si on regarde bien, seul le stand Austin avait une ancienne Mini au milieu des Mini modernes, ce qui a semblé assez attractif. C’est une idée qui permettrait d’attirer du monde. La deuxième idée serait que le bureau ne soit pas là, mais plutôt au milieu des stands ou à la sortie d’un hall.

Et pourquoi pas proposer de petites balades en voiture ancienne pendant la durée du salon, moyennant une petite finance.

Voilà, nous avons intérêt à travailler bien en amont, notamment auprès des constructeurs, et voir si on ne peut pas, d’ailleurs, laisser des voitures d’époque dans leur concession au moment des événements ou des réunions qu’ils peuvent y faire.

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